Jules Verne : Je vois. C’est donc vous qui m’aviez envoyé ce manuscrit saturé d’une furie hallucinée ?! Mon pauvre ami !
Aristide Hignard : Ah oui ! Le fou dont vous m’aviez parlé… avec un pseudonyme à particule !
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Gaston Verne : … oui… avec la naïveté de croite le sombre chant de ma muse visionnaire… capable d’ébranler votre arrogance positiviste !
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Jules Verne : ça alors ! Quel toupet ! Moi ! Arrogant ! Vous entendez ça Hignard !?
Aristide Hignard : Heumpf…
20 - 06-06-2011 - commenter - voir, partager - sommaire
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